BFMTV
People

Justin Bieber et Keith Richards rendent hommage à un ami, victime des attentats à Paris

Justin Bieber à New York le 14 novembre 2015.

Justin Bieber à New York le 14 novembre 2015. - Neilson Barnard / Getty Images North Ameircia / AFP

Très touchées, les deux stars ont tenu à honorer la mémoire de Thomas Ayad, un ami qui travaillait à Mercury et qui a perdu la vie dans la salle du Bataclan à Paris le vendredi 13 novembre.

Il fait partie des 89 victimes tombées sous les balles des terroristes après l'attentat survenu au Bataclan ce vendredi 13 novembre à Paris. Thomas Ayad, 32 ans, était chef de projet chez Mercury, label d'Universal Music Groupe.

Collaborant avec de nombreux stars dans le cadre de sa profession, le jeune homme avait notamment croisé la route de Justin Bieber et Keith Richards. En apprenant sa disparition, ces derniers ont tenu à lui rendre un dernier hommage sur les réseaux sociaux.

"Merci Thomas pour tout ce qui tu as fait pour moi"

C'est sur son compte Twitter que le chanteur canadien a écrit à son ami, originaire d'Amiens. Dans son message, Justin Bieber confie: "Je pense toujours à Paris et à mon ami Thomas que nous avons perdu au cours de cette tragédie. Il faisait partie de mon équipe depuis des années et j'aurais aimé avoir plus de temps pour le remercier. Prenez soin d'apprécier les gens autour de vous quand vous les avez. Merci Thomas pour tout ce que tu as fait pour moi. Tu étais apprécié et tu nous manqueras. Mes pensées et mes prières sont avec ta famille et tes amis."

De son côté, Keith Richards a également souhaité honorer la mémoire de Thomas Ayad. Sur son compte Instagram, le membre des Rolling Stonnes a posté une photo sur laquelle on le voit, souriant, au côté du jeune homme. Il a a accompagné ce cliché d'un message.

"J'adresse mes plus sincères condoléances à la famille et aux amis de Thomas Ayad, écrit Keith Richards. Les mots ne suffisent pas à exprimer l'horreur de ce qui s'est passé à Paris. Je suis horrifié par les événements tragiques qui ont touchés Paris vendredi soir." 

Fabien Morin