Tex se confie sur ses projets: "Avec Cyril Hanouna, on travaille sur plein de choses"

En attendant un éventuel retour à la télé, l'ex-animateur des Z'amours prépare aussi un nouveau one-man show sur son éviction de l'émission.

Interviewé par le média belge Télépro, Tex s'est confié sur ses nouveaux projets, et s'est dit "libre" depuis son éviction de France 2.

"J'essaie vraiment de passer à autre chose, je suis bien occupé, je fais plein de choses", a affirmé l'ex-animateur des Z'amours. "Je ne sais même pas ce qui va m'attendre le mois prochain, j'ai plein de surprises, de coups de téléphone (...) J'ai eu des propositions de la part de la Suisse, de la France."

L'humoriste n'a toutefois pas souhaité entrer dans les détails des propositions en question. Interrogé sur la possibilité d'une émission sur le thème de l'amour qui serait produite par Cyril Hanouna et diffusée sur C8, Tex a répondu:

"On travaille avec Cyril sur plein de choses qui risquent d'être à l'antenne, mais à l'heure qu'il est, il n'y a rien de ferme. On prépare des choses, si ça voit le jour, c'est bien, et puis si ça ne voit pas le jour, j'ai plein d'autres choses à faire."

"Si je ne reviens pas à la télé, ça ne me manquera pas"

En attendant la concrétisation (ou non) de ces projets, Tex va notamment animer une émission "autour de l'amour" sur la radio Bel RTL afin de faire gagner des voyages aux auditeurs qui souhaitent assister au mariage du prince Harry et Meghan Markle. 

Alors qu'il vient de sortir un livre de blagues pour les WC, l'ancienne star de France 2 se consacre également à l'écriture de son nouveau one man show, où il raconte ce qu'il lui est arrivé aux Z'amours "à la manière de la guerre des étoiles" et avec des blagues qu'il a "le droit" de faire. "Si je ne reviens pas à la télé, ça ne me manquera pas", a-t-il conclut.

Tex, qui avait été évincé du jeu Les Z'amours après une blague sexiste fin 2017 après 17 ans à l'antenne, a indiqué le 10 avril avoir entamé une procédure aux prud'hommes contre la chaîne France 2 et la société de production Sony "pour rupture abusive de contrat". Il réclame des indemnités à hauteur de 1,2 million d'euros.

N.B.