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Têtes couronnées

Pourquoi Meghan Markle n'a finalement pas participé à la réunion organisée par Elizabeth II

Meghan Markle le 11 juillet 2018

Meghan Markle le 11 juillet 2018 - AFP

La duchesse de Sussex devait assister à cette réunion de crise depuis Vancouver, par le biais d'une conférence téléphonique.

C'était l'événement royal à ne pas manquer. Lundi, la reine Elizabeth II avait organisé une réunion de crise avec le prince Harry, son frère William et leur père, Charles. Un rendez-vous destiné à désamorcer le scandale déclenché par l'annonce choc du duc et de la duchesse de Sussex, qui souhaitent se mettre en retrait de la monarchie.

Pas de conférence téléphonique pour Meghan

Et s'il avait été indiqué que Meghan, partie au Canada, devait participer à la réunion par l'intermédiaire d'une conférence téléphonique, il semblerait que la mère du petit Archie n'ait finalement pas participé à ce meeting où s'est joué son destin.

"Des sources royales ont désormais confirmé que Meghan n'a pas participé par téléphone à la réunion qui se tenait hier à Sandringham", a indiqué sur Twitter Emily Nash, journaliste spécialiste dans la royauté du magazine HELLO.

"Le duc et la duchesse de Sussex ont décidé qu'il n'était pas nécessaire que la duchesse y participe", a-t-elle ajouté, citant sa source. 

Un risque de fuite?

Le tabloïd The Daily Mail, lui, avance une toute autre raison: Meghan, située à Vancouver, "n'a pas été autorisée à rejoindre la discussion via conférence téléphonique, par peur que cette conversation ne reste pas privée". Les équipes du palais de Buckingham ont rejeté cette option, ne pouvant s'assurer que personne d'autre ne serait en train d'écouter.

"Il s’agissait d’une discussion familiale hautement confidentielle, et non d’une conférence téléphonique", a expliqué une source.

Un accord trouvé avec le couple

Cette entrevue à Sandringham a été fructueuse. La reine a trouvé un accord avec le couple, lui permettant se mettre en retrait de ses obligations royales sur "une période de transition". La souveraine de 93 ans dit "soutenir entièrement" le choix du couple princier et a demandé que les décisions finales soient trouvées "dans les jours qui viennent", soulignant qu'il restait "du travail à accomplir" sur ces questions "complexes", est-il précisé.

Nawal Bonnefoy