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The Crown: l'hypothèse Imelda Staunton pour incarner Elizabeth II affole Netflix et les médias

Imelda Staunton en avril 2018

Imelda Staunton en avril 2018 - Anthony Havey - AFP

Plusieurs médias rapportent que l'actrice britannique succédera à Olivia Colman. Netflix dément, mais les rumeurs de négociations entre la comédienne et la plateforme persistent.

Que les fans prennent leur mal en patience: la reine n'est pas encore prête. Les rumeurs selon lesquelles l'actrice Imelda Staunton reprendrait le rôle d'Elizabeth II dans la saison 5 de The Crown ont été démenties vendredi par la plateforme. Mais certains médias affirment néanmoins que les négociations entre la comédienne britannique et la production seraient en cours.

La saison 3 de cette série retraçant la vie de la souveraine britannique a été mise en ligne dimanche dernier par le géant du streaming. L'actrice Olivia Colman y fait ses débuts dans le rôle-titre en prenant la suite de Claire Foy, qui a incarné la reine dans les deux premières salves. Pour suivre le vieillissement des personnages, le casting devra à nouveau être renouvelé à l'issue de la saison 4.

Oui, non, sans doute

Le Daily Mail a annoncé jeudi qu'Imelda Staunton, connue notamment pour son rôle de Dolores Ombrage dans la saga Harry Potter, reprendrait le rôle de la reine d'Angleterre à partir de la saison 5. Une information que la plateforme dément dans les colonnes de Variety:

"Nous tournons actuellement la saison 4 de The Crown mais nous n'avons pas encore commandé de saisons supplémentaires. De fait, toute information relative au casting n'est que spéculation", déclare un porte-parole de Netflix dans un communiqué.

Il semble malgré tout que le nom d'Imelda Staunton se murmure dans les couloirs de Netflix. Selon le toujours très bien informé Deadline, l'actrice britannique de 63 ans est bien en négociations avec le géant du streaming.

Imelda Staunton est récemment apparue dans deux succès du box-office mondial: le film adapté de la série Downton Abbey et Maléfique 2: le pouvoir du mal.

Benjamin Pierret