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Orange is the New Black : trois raisons de regarder la série Netflix

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La série Orange is the New Black a fait son grand retour sur Netflix le 12 juin dernier, l’occasion pour nous d’énumérer les trois raisons pour lesquelles il est bon de découvrir ce show plein d’humour et loin des conventions habituelles.

Dans l’éventail de séries que propose le réseau Netflix, ce show lancé en 2013 et tiré d’une autobiographie, se démarque des autres.

Piper Chapman, incarnée par Taylor Schilling, se retrouve alors incarcérée dans la prison pour femme de Litchfield pour avoir franchi les limites de la légalité 10 ans plus tôt. Elle y retrouve alors Alex Vause, jouée par Laura Prepon, son ancienne amante pour qui elle avait enfreint la loi en transportant une valise d’argent de la drogue.

Orange is the New Black est très vite devenue un véritable phénomène grâce à son humour déjanté et son univers pour le moins original. Découvrez alors les trois bonnes raisons de découvrir cette série culte.

Des scènes hilarantes

Malgré son environnement sombre et inquiétant, le show nous offre des grands moments de rire et de plaisir. Drôle et touchante, la série met l’accent sur ses personnages hauts en couleur faisant de l'ombre à la violence de l’univers carcéral.

Entre situations originales et répliques cinglantes, la série garantit aux téléspectateurs un véritable moment de détente.

Des héroïnes captivantes

Si le show rencontre un tel succès, c’est surement grâce à ses pensionnaires qui ont su toucher et séduire les amateurs d’Orange is the New black. Crazy Eyes, Dayanara ou encore Morello, toutes ont un caractère bien trempé et un humour tranchant qui les rend attendrissantes aux yeux du public.

Des représentations homosexuelles

Très peu de séries avaient traité ce sujet auparavant. Orange is the New black a alors été honoré par la critique et le public pour sa représentation du couple lesbien, incarné par Piper Chapman et Alex Vause, mais aussi pour la présence d’une actrice transgenre dans le show : Laverne Cox qui prête ses traits à Sophia.

Alice Bouvet pour BFMTV