BFMTV
Séries

Bodyguard: la série événement avec Richard Madden de Game of Thrones débarque sur Netflix

Richard Madden dans Bodyguard

Richard Madden dans Bodyguard - Copyright Des Willie/BBC

Enorme succès outre-Manche, cette série plébiscitée par la presse pourrait séduire aussi les Français.

Bodyguard va sans doute devenir votre série préférée. Enorme succès outre-Manche (plus de 10,4 millions de téléspectateurs ont regardé le dernier épisode sur la BBC), ce programme porté par Richard Madden (Robb Stark dans Game of Thrones) et plébiscité par la presse débarque ce mercredi sur Netflix. 

Découpé en six épisodes de 58 minutes, Bodyguard ne partage que son titre avec le classique de Kevin Costner et Whitney Houston. L'intrigue suit un vétéran de guerre atteint de stress post-traumatique, David Budd, dont la mission est de protéger Julia Montague, la secrétaire d'État à l'Intérieur. 

"Le milieu des gardes du corps est confidentiel"

Crée par Jed Mercurio (Line of duty: enquêtes internes), Bodyguard aborde la question du terrorisme, comme 24 Heures chrono et Homeland. Et décrit le quotidien des gardes du corps: "Le milieu des gardes du corps est confidentiel. Ils sont avares en anecdotes", a indiqué au Figaro Richard Madden, qui ajoute:

"Ceux que j’ai rencontrés m’ont appris quelques gestes et m’ont parlé de leur état d’esprit. Même si nous dramatisons les situations, Bodyguard reflète l’intimité imprévue qui se noue entre les agents et les personnalités dont ils ont la charge. Ils peuvent en devenir très proches."

Bientôt une deuxième saison?

Le tournage ne fut pas de tout repos, se souvient ce dernier: "On a filmé six jours sur sept, 14 heures sur 24 pendant cinq mois, sans la moindre pause, et à la fin en plein hiver londonien."

Bien que l'histoire de Bodyguard soit terminée, une deuxième saison est en négociation. Le succès a d'ailleurs laissé l'acteur sans voix, qui dit avoir besoin de temps avant de replonger dans ce thriller: "Je me sens encore dépassé par toutes les réactions que la série a suscitées."

Jérôme Lachasse