Le film d'horreur Us affole le box-office nord-américain et déloge Captain Marvel de la première place

Ce thriller glaçant effectue l'un des meilleurs démarrages de l'histoire pour un film du genre, avec 70.3 millions de dollars de recettes pour son premier weekend en salles.

Le film d'horreur Us a connu un premier weekend d'exploitation ébouriffant. De quoi lui permettre de s'emparer, dès sa sortie, de la tête du box-office américain, selon les chiffres provisoires publiés dimanche par la société spécialisée Exhibitor Relations.

Ce thriller glaçant qui met aux prises les membres d'une famille américaine avec leurs propres doubles malveillants, a récolté 70.3 millions de dollars entre vendredi et dimanche aux Etats-Unis et au Canada, l'un des meilleurs démarrages de l'histoire pour un film du genre. 

Un nouveau succès se dessine donc pour son réalisateur Jordan Peele, dont le premier film d'horreur, Get Out, lui avait valu en 2018 l'oscar du meilleur scénario original. 

Il déloge Captain Marvel de la première place

Us a ainsi délogé de la première place, qu'il occupait depuis deux semaines, le film Captain Marvel, dans lequel l'actrice oscarisée Brie Larson incarne une ancienne pilote d'élite dotée de super-pouvoirs. Ses 35 millions de dollars du weekend portent néanmoins son total à 910 millions dans le monde depuis sa sortie.

La troisième marche du podium est occupée, avec 9 millions de dollars en trois jours, par le film d'animation des studios Paramount Le parc des merveilles, dans lequel prend vie le parc d'attractions imaginé par la petite June. 

Il devance de justesse Five Feet Apart (quatrième avec 8.8 millions de dollars), qui raconte l'histoire d'amour de deux adolescents, Stella (Haley Lu Richardson) et Will (Cole Sprouse), souffrant tous deux de mucoviscidose. 

Désormais cinquième, Dragons 3: Le monde caché a rapporté 6.5 millions de dollars au cours du weekend. Le film d'animation du studio DreamWorks réunit pour la troisième et dernière fois le jeune viking Harold et son dragon Krokmou.

Nawal Bonnefoy avec AFP