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Vincent Cassel se souvient de ses expériences avec la drogue et n'a pas l'intention de recommencer

Vincent Cassel

Vincent Cassel - Valery Hache / AFP

Le comédien, bientôt à l'affiche de L'Empereur de Paris, se souvient notamment de la première fois où il a pris des acides. Des mauvais souvenirs.

Bientôt à l'affiche de L'Empereur de Paris, où il incarne Vidocq, Vincent Cassel s'est confié dans la revue L'Officiel sur ses expériences avec la drogue. Celui qui s'est marié fin août avec Tina Kunakey raconte notamment avoir testé sur le tournage de Blueberry (2004) de l'ayahuasca, une drogue hallucinogène: 

"Tu es réveillé mais la moindre oscillation de tes pensées ouvre la porte à des visions. C'est complètement flippant, pas du tout rigolo!", s'est souvenu l'acteur césarisé pour Mesrine, qui précise ne plus jamais en avoir consommé depuis: "Mais depuis, non, je ne l'ai pas refait. Et l'idée de recommencer me fait même peur."

Le souvenir de son père

Le comédien, qui retrouve dans L'Empereur de Paris Jean-François Richet dix ans après Mesrine, se souvient également de la première fois où il a pris des acides - et de leur effet libérateur: "C'est en prenant des acides que, pour la première fois, j'ai regardé mon père en me demandant: 'Mais qu'est-ce qu'il est en train de me raconter?'"

Vincent Cassel évoque alors brièvement le souvenir de son père, le comédien Jean-Pierre Cassel, à qui il devait donner la réplique dans le diptyque sur Mesrine: "Il est mort pendant le tournage. Il devait interpréter mon père, donc celui de mon personnage, atteint d'un cancer, tu imagines? Je lui ai dit: 'Tu te sens capable de jouer ça?' Il m'a répondu: 'Et comment!' Il pouvait être beaucoup plus cynique que les gens l'imaginent..."

Jérôme Lachasse