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Le conseiller de Laeticia Hallyday sévère avec Jean-Baptiste Guégan: "On ne remplace pas Johnny"

Jean-Baptiste Guégan dans "La France a un incroyable talent", le 6 novembre 2018 -

Jean-Baptiste Guégan dans "La France a un incroyable talent", le 6 novembre 2018 - - Capture d'écran M6

Michel Jankielewicz se montre peu friand de la voix du chanteur, connu pour son timbre semblable à celui du Taulier.

Parmi toutes les personnalités qui louent le talent de Jean-Baptiste Guégan, une voix dissidente vient de se faire entendre. Michel Jankielewicz, nouveau conseiller de Laeticia Hallyday, se montre réservé face au succès du jeune chanteur, connu pour son timbre de voix si semblable à celui de Johnny. 

Dans un entretien diffusé ce mardi par l'AFP, il pointe du doigt le show de Jean-Baptiste Guégan: "(C'est) vendu comme un spectacle hommage, ce n'est pas très sain", juge-t-il, avant d'ajouter:

"Guégan a du talent, mais on n'écoute pas la voix de Johnny à son spectacle, il faut qu'il reste à sa place, on ne remplace pas Johnny, comme on ne remplace pas Aznavour, Bécaud ou Nougaro". 

Il ajoute que "pour Guégan, ça va être très difficile de sortir de là, à part faire un duo avec Sylvie Vartan au Grand Rex, mais tout est possible dans le showbiz". 

"Tout Paris écrivait pour Johnny"

Jean-Baptiste Guégan a sorti un album de musiques originales, Puisque c'est écrit, en août dernier. Le disque a été composé par Michel Mallory, ancien parolier du Taulier. Certaines des chansons auraient été écrites pour Johnny, selon l'auteur, ce que Michel Jankielewicz met en doute: "Je ne crois pas qu'il s'agisse de chansons que Johnny auraient enregistrées. Quand Johnny allait sortir un album, tout Paris écrivait pour lui".

Ces propos ont été recueillis par l'AFP alors que de nombreux projets autour de Johnny Hallyday, officiels ou non, se préparent pour l'année 2019-2020. Si Michel Jankielewicz se réjouit de l'événement Johnny Hallyday, un soir à l'Olympia préparé par Laeticia, il se montre très sévère envers le spectacle L'Idole des jeunes, qu'il qualifie de "substitut, comme l'aspartame pour le sucre".

Benjamin Pierret