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"La peur de notre vie": vilaine chute de Franz-Olivier Giesbert sur le plateau des Terriens

Franz-Olivier Giesbert

Franz-Olivier Giesbert - Guillaume Souvant / AFP

C’est en fait un cascadeur qui a réalisé la chute de Franz-Olivier Giesbert dans Les Terriens du dimanche ce 21 octobre. La séquence avait été partagée sur les réseaux sociaux avant sa diffusion.

La chute était fictive. Le gadin de Franz-Olivier Giesbert diffusé ce 21 octobre dans Les Terriens du dimanche était en réalité un canular de la production, comme l’a révélé Canal+ ce lundi. Le chroniqueur a laissé place à un spécialiste pour dévaler l’escalier du plateau de C8. Ces images impressionnantes avaient été reprises par de nombreux médias, dont BFMTV.com.

"C’est un comédien, ou d’ailleurs plutôt un cascadeur qui a réalisé la chute!" a déclaré Canal+ à Télé Star ce lundi. Comme le rappelle le site de l’hebdomadaire, le chroniqueur a droit à des entrées spéciales chaque semaine: quand ses collègues arrivent en descendant l’escalier du plateau de Thierry Ardisson, lui apparaît sur un lit d’hôpital ou dans une carriole. Un traitement dû à ses genoux fragiles, qui rendent difficile la descente des marches. Cette chute n’était qu’une nouvelle entrée originale, qualifiée de gag "musclé" par la chaîne.

"La peur de notre vie"

Télé Star explique également comment a été réalisée la séquence. Tous les chroniqueurs ont été filmés en haut des escaliers. Franz-Olivier Giesbert a été remplacé par le cascadeur pour la descente et a rejoint le plateau depuis les coulisses. 

Cette fausse chute avait été annoncée par la chaîne l’émission. "La peur de notre vie", annonçait le compte Twitter des Terriens dans l’après-midi en diffusant l’extrait. Le co-producteur du programme Stéphane Simon avait repartagé ce tweet, déclarant que l’émission avait démarré "de façon catastrophique" et qu’il s’agissait du "pire gadin de l’histoire de la télévision", accompagnant son message du hashtag "#coulissesTV". Franz-Olivier Giesbert lui-même avait retweeté ce message.

Benjamin Pierret et Jérôme Lachasse