Justin Bieber et Hailey Baldwin en couverture du Vogue américain

Les jeunes mariés posent en couverture du numéro de mars du Vogue américain. Ils reviennent sur leur relation, les défis du mariage et les années difficiles du chanteur canadien.

Cadeau de mariage pour Justin Bieber et Hailey Baldwin. Le chanteur et le mannequin, qui ont officialisé leur union en novembre dernier, sont en couverture du Vogue américain du mois de mars. Le célèbre magazine a dévoilé la couverture ce jeudi, quelques heures après son apparition sur les réseaux sociaux.

Les jeunes mariés posent en extérieur, enlacés, le visage du chanteur de 24 ans posé contre le cou de son épouse de 22 ans. "Elle est la sécurité que j'ai toujours voulu", dit une citation sur la couverture, qui qualifie leur histoire de "tourbillon de romance".

"Je n'ai jamais pu découvrir qui j'étais"

Dans les pages du magazine, ceux qui ont longtemps entretenu le mystère sur la nature de leur union (ils ont mis des semaines à confirmer qu'ils étaient bel et bien mariés) évoquent leur vie de couple. "Le truc, c'est que le mariage, c'est très dur", explique ainsi Hailey Baldwin, fille de l'acteur Stephen Baldwin - et nièce d'Alec. Ils reviennent sur leur relation, leurs dix ans d'amitié, leur première idylle il y a trois ans, leurs retrouvailles en juin dernier. Justin Bieber s'étend sur ses années d'excès, sa consommation de drogue et son combat pour se débarrasser de ses addictions:

"J'ai du succès depuis que j'ai 13 ans, alors je n'ai jamais vraiment pu découvrir qui j'étais, en dehors de ce que je faisais (...) J'ai été formaté (...) J'ai commencé à vraiment trop m'aimer (...) Je portais des lunettes de soleil à l'intérieur."

Autant de raisons pour lesquelles il a décidé, à l'automne dernier, de s'éloigner de la musique pendant un temps. Il parle également des raisons qui l'ont poussé à interrompre sa tournée en 2017: "J'ai été vraiment déprimé en tournée. Je n'en ai pas parlé, et je digère encore beaucoup de choses dont je n'ai pas parlé. J'étais seul. J'avais besoin de temps."

Benjamin Pierret