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Julien Bert, condamné dans une affaire de trafic de drogue, fait appel et clame son innocence

Julien Bert sur le plateau de "Touche pas à mon poste"

Julien Bert sur le plateau de "Touche pas à mon poste" - Capture d'écran C8

Julien Bert, ex-candidat des Anges de la télé-réalité est revenu sur les faits qui lui sont reprochés sur le plateau de TPMP.

Julien Bert estime avoir été injustement condamné. L'ex-candidat de télé-réalité, condamné à deux ans de prison dont six mois avec sursis et 20.000 euros d'amende dans une affaire de trafic de drogue, clame son innocence. Lundi soir sur le plateau de Touche pas à mon poste, le jeune homme de 27 ans a annoncé avoir fait appel:

"Je suis innocent (...) J'aimerais que ce soit rejugé cette affaire, c’est pour ça qu’on a fait appel, parce que je ne mérite pas cette sanction. J’ai été victime de ma naïveté, ma crédulité."

"Je n'ai pas transporté de drogue"

Julien Bert a été jugé coupable le 3 avril par le tribunal correctionnel de Paris. Selon Le Progrès, qui rapportait l'information, il était soupçonné "d'avoir joué les porte-valises remplies de drogue à l'aéroport de Punta Cana en octobre 2014". 

Face à Cyril Hanouna, il assure n'avoir pas ramené de stupéfiants de Punta Cana. "Ils (la justice, ndlr) savent que je n'ai pas transporté de drogue (...) ils savent que je n'ai rien ramené", déclare-t-il. Il explique qu'on lui reproche simplement d'avoir "testé la fiabilité des douanes pour le biais d'une association de malfaiteurs". Ce dont il se défend.

Julien Bert rapporte avoir été appréhendé par la justice parce qu'"Ils ont enquêté sur toute cette affaire, ils sont une trentaine de personnes au final. Et je suis apparu à un certain moment."

Il livre sa version

La star de L'île des vérités et des Anges de la télé-réalité raconte avoir été victime d'une machination. Selon lui, une connaissance lui a proposé de partir en voyage à Punta Cana "pour son anniversaire", lui demandant simplement de "faire de la pub pour l'hôtel". Il raconte que le dernier jour, la personne qui les a accueillis leur a annoncé qu'ils rentreraient en France avec d'autres valises que les leurs. Il assure avoir refusé et s'être même battu avec cette personne pour récupérer son passeport et "rentrer par ses propres moyens".

Benjamin Pierret