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Insultes, bagarres, ballons pleins de boue: Iris Mittenaere a été victime de harcèlement à l'école

Iris Mittenaere

Iris Mittenaere - Valery Hache / AFP

Dans son autobiographie, Miss France 2016 se confie sur son enfance difficile et révèle avoir mis du temps avant de se trouver jolie.

C'est une Iris Mittenaere inédite qui se dévoile dans Toujours y croire (Harper Collins), la biographie que publie l'ancienne Miss Univers, a remarqué Pure People. La candidate de Danse avec les stars y raconte son parcours et revient en particulier sur un événement douloureux de sa vie: le harcèlement dont elle a été la victime à l'école. 

La co-présentatrice de Ninja Warrior se souvient d'une scolarité difficile, où la cour de récréation n'était pas synonyme de repos, mais de violence: 

"C'est dans la cour de récréation que les choses se gâtent. Je me bagarre systématiquement avec les garçons. Ou plutôt, je me défends. Quand ils m'insultent ou se moquent de moi, je ne me laisse pas faire. Je rends coup pour coup. Comment ne pas riposter quand ils s'amusent à me viser avec des ballons pleins de boue?"

"A la maison, ma sœur et mon frère m'appellent 'clou'"

Un de ses harceleurs, un certain Rémi, la frappait "sournoisement sous les tables". Elle n'a pas hésité à lui rendre la pareille. Elle déplore aujourd'hui de s'être rabaissée à son niveau: "Par la suite, j'ai appris à m'y prendre autrement pour faire face à ce genre de situation, mais le sentiment d'injustice est quelque chose qui, aujourd'hui encore, me fait particulièrement réagir".

Miss France 2016 confie enfin avoir mis du temps avant de se "trouver jolie". Surnommée "pique à brochette" à l'école et "clou" dans sa famille, elle est désormais "en paix avec [s]on image": "A la maison, ma sœur et mon frère m'appellent 'clou' ou 'cloute'. Au début, ce surnom me met hors de moi, mais je comprends qu'il est plus bienveillant que celui de l'école."

Jérôme Lachasse