Frédéric Beigbeider fait sa chronique sur France Inter complètement "ivre"

Survolté. Agité. Et alcoolisé? Frédéric Beigbeder était en tout cas en grande forme ce vendredi matin pour sa chronique littéraire sur France Inter. Lunettes noires sur le nez et affublée d'un t-shirt avec l'inscription "Forever Young", la nouvelle recrue de la station de radio a fait une apparition remarquée derrière son micro.

Commençant sa chronique en précisant qu'il arrive tout droit du Montana, "une discothèque parisienne qui ferme tard, très tard", Frédéric Beigbeder s'amuse ensuite à souligner que lui confier une chronique hebdomadaire était une "faute grave" et un "pari perdu".

"Une faute grave"

Entre deux logorrhées en anglais et deux déhanchés en musique, le chroniqueur ironise sur son billet d'humeur, mais confie finalement qu'il va tenter de donner "son avis sur la géopolitique internationale, comme David Guetta".

Rejetant d'abord son absence de chronique sur Michel Rocard ("tout est de sa faute ces derniers temps", confie-t-il), l'écrivain et réalisateur revient finalement sur l'actualité, évoquant les bonbonnes retrouvées devant Notre-Dame de Paris. "Moi, dès que j'entends le mot 'attentat', je sors ma vodka." Et de conclure: "A Paris, il y a deux sortes de nihilistes, ceux qui ont une Kalachnikov et ceux qui commandent un autre verre." Du Beigbeder 100% pur jus.