Beyoncé empêtrée dans une bataille judiciaire autour du nom de sa fille
Blue Ivy est un nom plus populaire qu'il n'y paraît. En 2017, Beyoncé a entamé les démarches afin de faire du prénom de sa fille une marque déposée. Elle se heurte depuis à Veronica Morales, une organisatrice de mariages dont la société porte ce nom depuis 2009, soit trois ans avant la naissance de la fillette, en janvier 2012.
Selon The Blast, la wedding planner vient de demander à Beyoncé de fournir des documents privés qui pourraient prouver que la chanteuse envisage d'utiliser le nom Blue Ivy de manière commerciale. Elle demande également des conversations entre la chanteuse et son époux Jay-Z ou sa mère Tina Knowles qui prouveraient que les parents connaissaient le nom "Blue Ivy" avant la naissance de l'enfant.
Mesure préventive
Le média américain rapporte que Beyoncé s'y refuse et qu'elle a demandé une ordonnance qui interdirait à Veronica Morales ou son équipe juridique de dévoiler ces informations. Le couple de stars aurait décidé de protéger le nom de leur enfant afin que personne ne puisse en tirer profit.
Selon The Blast, Beyoncé a accusé Veronica Morales l'an dernier de lui avoir proposé de lui vendre sa société pour 10 millions de dollars. Des accusations que nie l'organisatrice de mariages.