Anissa Delarue se dit "calomniée" depuis trois ans
Devant le tribunal de grande instance de Paris, Anissa, veuve de Jean-Luc Delarue, a déclaré ce mardi 9 février: "Je suis là pour défendre mon histoire et mon mariage". La jeune femme fait face à l'ex-compagne du présentateur, Elisabeth Bost, qui demande l'annulation de leur union pour des questions d'héritage.
"J'ai été calomniée depuis trois ans, j'ai laissé faire jusqu'ici, mais on s'attaque aujourd'hui à un symbole. La ligne rouge a été franchie. Je suis là pour Jean-Luc, il faut respecter ses volontés. La prochaine étape, c'est quoi? On va m'accuser d'homicide et dire que mon mari n'est pas mort d'un cancer?", s'est insurgée Anissa.
La partie adverse défend sa cause en s'appuyant sur la maladie de l'ancien présentateur de Tout le monde en parle, un homme "rongé par un cancer de l'estomac, la souffrance et la lourdeur des traitements subis" et pointe du doigt "un état de faiblesse général qui aurait pu altérer ses facultés et le pousser à signer des documents officiels", rapporte Le Point.
Un amour pur et éternel
L'avocat d'Anissa, maître Szpiner, a déclaré avec ironie que "Monsieur Delarue n'était pas un pantin désarticulé sous l'emprise d'une sorte d'araignée qui exerçait de la magie noire".
Afin d'appuyer ses propos, il a dévoilé une lettre d'amour que Jean-Luc avait écrit à Anissa le jour de leur mariage, le 12 mai 2012, trois mois avant son décès.
"Tu n'as pas connu mes meilleures années et pourtant tu m'as offert les miennes. Je t'aime d'un amour pur et éternel. Anissa, mon ange, mon cœur blanc, comme tu m'appelles souvent. Ma première et ma dernière femme", peut-on lire.