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Adriana Karembeu raconte sa grossesse: "Ma poitrine dépasse largement mon ventre"

Adriana Karembeu

Adriana Karembeu - Yohan Bonnet / AFP

Adriana Karembeu est tombée enceinte après sa troisième fécondation in vitro. A quelques jours de son accouchement, elle raconte son quotidien.

Adriana Karembeu, 46 ans, est enceinte de son premier enfant. Dans les colonnes du magazine Gala, elle revient sur sa grossesse, qui intervient deux ans après sa fausse couche en 2016. 

Avant de tomber enceinte, l'animatrice a commencé à changer de rythme de vie: "J'ai fait des tests de fertilité, je me suis mise à manger sainement, à prendre soin de mon corps comme un futur habitacle".

Elle a aussi recouru à trois fécondations in vitro, mais à l'étranger, car "passé quarante-deux ans, en France, on n'a plus accès à cette méthode", précise-t-elle. L'animatrice a ainsi passé plusieurs mois difficiles, notamment à cause des résultats négatifs. Une véritable épreuve: 

"J'étais démoralisée", confie-t-elle. "J'avais du mal à croiser des femmes enceintes ou des poussettes dans la rue, explique-t-elle. J'apprenais à renoncer. Avec Aram [son mari] nous en étions à considérer l'adoption".

"Ma poitrine dépasse largement mon ventre"

Adriana Karembeu est tombée enceinte après la troisième fécondation in vitro. Le jour où elle a appris la nouvelle, elle était à Paris. Son mari, Aram, était à Marrakech. 

"Quand j'ai lu le résultat positif du test, j'ai essayé de rester calme", se souvient-elle. "Je savais que ce n'était que le début. Je devais poursuivre mon traitement hormonal et surveiller mes taux d'hormones avec des prises de sang régulières".

Aujourd'hui, l'animatrice en est à son huitième mois de grossesse. "Je n'ai pas pris beaucoup de poids parce que, au début, la nourriture me dégoûtait, j'avais des nausées sans cesse, j'étais dans l'impossibilité d'avaler quoi que ce soit. J'ai donc d'abord perdu 5 kilos avant de me rattraper ensuite", détaille-t-elle, avant d'ajouter: "Mais ce qui est impressionnant, c'est que ma poitrine dépasse largement mon ventre".

Elle attend désormais avec impatience l'arrivée de son enfant: "Je savoure tous les instants parce que c'est ma première et ma dernière grossesse. En dépit de la fatigue, des vertiges, je souris tout le temps et j'ai toujours la main sur mon ventre."

Jérôme Lachasse