Le père de Meghan Markle change d'avis et veut assister au mariage
Viendra, viendra pas? Le père de Meghan Markle a longtemps entretenu le suspense. Après avoir affirmé lundi à TMZ qu'il ne viendrait pas et invoqué des problèmes de santé, il a assuré dernièrement vouloir se rendre au mariage samedi en Angleterre de sa fille avec le prince Harry. Mais seulement s'il a le feu vert de ses médecins, avait-t-il déclaré mardi toujours à TMZ. Or, comme l'a affirmé le même site dans la soirée, Il a finalement confié que, devant être opéré ce mercredi matin, il ne pourrait pas participer à l'événement. Thiomas Markle a décrit l'opération qui l'attend. Les médecins vont "déboucher" des artères, "réparer les dégâts et installer un stent là où il le faudra".
Thomas Markle, a indiqué le site, avait expliqué avoir dû de nouveau être hospitalisé à la suite d'intenses douleurs à la poitrine, précisant que les médecins l'avaient prévenu que son coeur était "gravement endommagé" après son infarctus il y a une semaine.
Photos vendues aux paparazzis
"Je déteste l'idée de manquer un des plus grands moments de l'histoire et de ne pas pouvoir mener ma fille à l'autel", a-t-il déclaré, soulignant que l'ancienne actrice américaine avait tenté de lui téléphoner lundi et lui avait envoyé des SMS s'inquiétant de sa santé.
Selon lui, elle assurait également ne pas lui en vouloir après qu'il se soit mis en scène en train de se préparer pour le mariage dans des photos vendues aux paparazzis, avait affirmé plus tôt le site TMZ.
"Un moment historique"
C'était "stupide" de faire ces photos, a-t-il relevé auprès du site, ajoutant: "Bien sûr, je la conduirai à l'autel. C'est un moment historique. Je voudrais faire partie de l'histoire".
Il semble donc que ça ne puisse être le cas.
"Une situation difficile"
A quelques jours de leur mariage au château de Windsor, le prince Harry et Meghan Markle étaient confrontés à ces incertitudes liées à Thomas Markle, 73 ans.
Un porte-parole du palais de Kensington, résidence officielle du prince Harry, s'est contenté lundi soir de demander "compréhension" et "respect" dans cette "situation difficile".