Michel Polnareff attaque son producteur dans un étrange poème
Polnareff est un homme de lettres. Après son "histoire de Q", le chanteur français s'est lancé dans une histoire de K. Dans un poème décalé posté ce mardi 10 janvier sur son compte Facebook, Michel Polnareff a adressé un nouveau message à son producteur qui, s'il n'est pas nommé, est au coeur de ce poème revenant sur ses récents problèmes de santé.
Le chanteur de 72 ans, qui avait été contraint d'annuler deux concerts après avoir été victime d'une embolie pulmonaire en décembre dernier, écrit: "Il était une fois un producteur qui n'avait pas de K contre un artiste qui avait, selon lui, fait un KK nerveux en refusant de chanter."
"Manquant d'assurance, le producteur décida de porter son K devant l'ordre des médecins en soupçonnant le docteur sauveur du chanteur d'avoir falsifié le K. K tastrophe pour le producteur sans K, l'ordre des médecins jugea à l'unanimité qu'ils n'avaient pas de K contre le docteur qui avait découvert le K", poursuit-il
"Quand on n'a pas de K, on change de lettre ou bien on l'a dans le Q"
Résumant de manière un brin lunaire le bras de fer qui l'oppose actuellement à son producteur Gilbert Coullier, l'interprète de Goodbye Marylou revient ensuite sur sa présence au bar, le soir de l'annulation de son premier concert. Son producteur avait en effet envoyé un huissier pour constater les faits. "Malheureusement, pour le K de l'huissier sans K, le chanteur boit un verre opaque dont il ne peut voir le contenu et l'huissier sans K sent le K lui échapper, écrit Michel Polnareff. K cela ne tienne, l'huissier sans K communi K la note du bar au producteur sans K qui pensa en tenir un."
De cette étrange récit de l'histoire, Michel Polnareff conclut avec cette morale supposée de "G.C." (les initiales de son producteur): "Quand on n'a pas de K, on change de lettre ou bien on l'a dans le Q."
Depuis sa sortie très médiatisée de l'hôpital, Michel Polnareff multiplie les messages pour demander des excuses à son producteur qui remet en cause le diagnostic du docteur Siou, le médecin qui l'a soigné.