Les jumeaux de Beyoncé et Jay Z sont nés

Le couple d'artistes le plus riche du monde a accueilli jeudi des jumeaux. Les bébés, un garçon et une fille, selon les médias américains, sont nés à Los Angeles.

La diva pop Beyoncé, épouse du rappeur Jay-Z, a donné le jour à des jumeaux, selon plusieurs médias américains, dont le toujours très bien renseigné TMZ. Le site indique par ailleurs qu'en raison d'un "problème mineur", Beyoncé et les jumeaux n'ont pas encore pu quitter l'hôpital.

Selon le site du spectacle E!, le couple aurait été vu à l'hôpital à Los Angeles jeudi. Et vendredi une photo circulait montrant une femme arrivant avec des fleurs, une carte sur laquelle on pouvait deviner "B + J", et deux ballons disant "Bébé fille" et "Bébé garçon". Le père de la chanteuse, Mathew Knowles est pour l'heure le seul membre de la famille à avoir partagé la nouvelle sur les réseaux sociaux. Il a posté ce dimanche un tweet indiquant simplement "Ils sont là! Bon anniversaire aux jumeaux".

Bébé fille et Bébé garçon

Le sexe des jumeaux n'avait pas été révélé avant la naissance. il y a quelques jours, Barack Obama, proche du couple, avait laissé entendre qu'il s'agissait de deux filles. Jeudi, sans un discours saluant l'entrée du rappeur Jay Z au Panthéon américain des auteurs-compositeurs, l'ancien président avait déclaré: "Jay Z et moi sommes tous deux fous de nos filles. Même s'il va me dépasser quand ses jumeaux vont naître".

Le couple, qui a depuis le début de cette grossesse abreuvé les réseaux sociaux de photos, n'a fait aucune déclaration. Beyoncé avait annoncé en février qu'elle était enceinte. La photo qu'elle avait posté sur Instagram le 1er février pour annoncer l'heureuse nouvelle a été "likée" plus de 11 millions de fois. La star et Jay Z sont déjà parents de la petite Blue Ivy, 5 ans.

A eux deux, les deux pop stars américaines sont également les artistes les plus riches du monde, avec 250 millions de dollars pour elle grâce à sa tournée Formation tour et 42 millions de dollars pour lui, amassés cette année.

Magali Rangin avec AFP