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Johnny Hallyday: comment le couple Macron a soutenu le rockeur dans son combat contre la maladie

Brigitte Macron et Laeticia Hallyday lors de l'hommage national à Johnny Hallyday

Brigitte Macron et Laeticia Hallyday lors de l'hommage national à Johnny Hallyday - Yoan Valat - Pool - AFP

Interviewée par Le Point, Laeticia Hallyday a raconté la relation qu'elle et Johnny avaient tissée avec le couple présidentiel.

Un soutien présidentiel. Dans sa longue interview accordée au Point, Laeticia Hallyday est revenue sur les derniers mois très difficiles de Johnny, sa lutte contre la maladie, et comment le président de la République Emmanuel Macron et son épouse Brigitte "ont été très présents durant ce combat".

"On les a rencontrés avant que mon mari ne tombe malade. J'avais organisé un anniversaire pour Line Renaud à la maison. On m'avait dit quelles personnes elle aimerait avoir. J'ai contacté Brigitte Macron, parmi d'autres", a raconté Laeticia, qui avait partagé à l'époque sur Instagram une photo de cet événement.

Quand Johnny et Macron se parlaient au téléphone

La veuve du rockeur a expliqué qu'entre Brigitte Macron et elle, c'était avant tout "une rencontre de femmes" qui ont épousé "des hommes avec des destins pas ordinaires".

"On a eu de très beaux échanges. On se disait beaucoup de choses. Quand mon mari est tombé malade, je lui ai dit", a-t-elle ajouté.

Dès l'annonce du cancer de Johnny Hallyday, la première Dame, "une femme bienveillante et intelligente" selon la veuve du rockeur, a "pris beaucoup de nouvelles".

"Elle passait de temps en temps le président Macron à mon mari au téléphone. Juste une ou deux minutes. Une fois, on était à Quiberon, il avait parlé de son album au président", a-t-elle révélé.

Brigitte et Emmanuel Macron étaient au côté de Laeticia lors de l'hommage populaire rendu à Johnny Hallyday, le 9 décembre dernier à la Madeleine. A cette occasion, le chef de l'Etat avait prononcé un éloge funèbre, rendant hommage au chanteur Johnny Hallyday, qu'il avait décrit comme "un ami, un frère", mais surtout comme "une part de la France".

N.B.