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Jim Carrey dénonce les dangers des vaccins

Jim Carrey ne veut pas voir le vaccin s'imposer.

Jim Carrey ne veut pas voir le vaccin s'imposer. - Mark Mainz - Getty - AFP

L'acteur part en guerre contre le projet de loi du gouverneur démocrate de Californie qui souhaite imposer la vaccination à tous les enfants scolarisés.

C’est sur Twitter que Jim Carrey a décidé de faire part de son combat contre le projet de loi du gouverneur démocrate de Californie. Face à la décision de ce dernier d’imposer la vaccination à tous les enfants scolarisés, le comédien a tenu à dénoncer les dangers de cette mesure sur les réseaux sociaux. 

"Le gouverneur californien a donné son accord pour empoisonner plus d'enfants avec du mercure et de l'aluminium dans les vaccins obligatoires. Ce vendu aux industries doit être arrêté", a-t-il déclaré avant de marteler qu’il n’était pas anti-vaccin, mai anti-thiomersal et anti-mercure.

"Ils disent que le mercure dans le poisson est dangereux mais qu'obliger tous nos enfants à se faire injecter du mercure et du thiomersal ne présente aucun risque. Je ne suis pas anti-vaccin. Je suis anti-thiomersal, anti-mercure. Ils ont enlevé un peu du mercure chargé de thiomersal des vaccins. MAIS PAS TOUT!", a-t-il affirmé. 

Jim Carrey s’en est ensuite pris Centre pour le Contrôle et la prévention des Maladies, l’annonçant corrompu: "Le Centre pour le Contrôle et la prévention des Maladies (CDC) ne peut pas résoudre le problème qu'ils ont aidé à créer. Il est trop risqué d'admettre qu'ils ont eu tort sur le mercure/thiomersal. Ils sont corrompus".

Jim Carrey qui a entretenu une relation avec l’actrice et présentatrice, Jenny McCarthy entre 2005 et 2010 - elle attribue notamment l'autisme dont souffre son fils au vaccin ROR (rougeole, rubéole, oreillons) – a enfin incité ses fans à regarder un documentaire et cite Robert Kennedy Jr., le neveu de l'ancien président des États-Unis, connu pour être une voix du mouvement anti-vaccin aux États-Unis.

R.I