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Braquage à Paris: Kim Kardashian remercie la police française

Kim Kardashian le 2 novembre 2014 à Paris

Kim Kardashian le 2 novembre 2014 à Paris - Valerie Macon - AFP

La star de télé-réalité a remercié les policiers français pour leur travail à la suite de son agression en octobre dernier.

Alors qu'était diffusé dimanche soir l'épisode de Keeping Up With The Kardashians dans lequel Kim raconte pour la première fois son agression à Paris, la star de la télé a pris le temps de remercier ceux qui l'avaient soutenue dans cette terrible épreuve.

Après avoir eu un mot pour ses amis et sa famille qui ont été là pour elle "quand elle en avait le plus besoin", la businesswoman a rendu hommage aux policiers français.

"A la police française, merci pour votre travail incroyable et difficile", a écrit la femme de Kanye West dans un tweet, aussitôt retweeté par le compte de la Police Nationale. 

Dans une audition devant la juge d'instruction française datant du 2 février dernier et dévoilée par Le Monde ce weekend, Kim Kardashian a également assuré être "très fière du système judiciaire français".

Des hommes agressifs pris pour des terroristes 

Dans cet entretien réalisé à New York (la star estime désormais que la capitale française n'est pas un endroit pour elle "sur le plan émotionnel"), la vedette de 36 ans a aussi confié avoir craint d'être kidnappée par des terroristes.

"Ils étaient agressifs (…). Je croyais qu’il s’agissait de terroristes venus pour m’enlever (...) Je me souviens que j’avais un sentiment indescriptible, comme le cœur qui sort de la poitrine. Je comprenais que j’allais mourir", a-t-elle rapporté. 

Kim Kardashian avait été victime d'un cambriolage dans la nuit du 2 au 3 octobre dernier dans son hôtel particulier situé dans le 8ème arrondissement de Paris. Deux téléphones portables et des bijoux –dont sa bague de fiançailles - lui avaient été dérobés. Cinq hommes armés et masqués avaient fait irruption dans les lieux après avoir menotté le veilleur de nuit. Ils avaient ensuite attaché la star, avant de l'enfermer dans la salle de bain.

Nawal Bonnefoy