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Barbelivien: Sarkozy, "si les Français le connaissaient dans son intimité, il serait élu avec 90% des voix"

Nicolas Sarkozy et Didier Barbelivien en 2005.

Nicolas Sarkozy et Didier Barbelivien en 2005. - Philippe Huguen - AFP

Le musicien, ami de trente ans de Nicolas Sarkozy, soutient plus que jamais l'ancien président de la République.

Entre Sarkozy et lui, cela dure depuis trente ans. Le chanteur-compositeur Didier Barbelivien, interrogé dans Le Figaro ce vendredi, revient sur cette longue amitié. "Nicolas Sarkozy est comme un frère pour moi", déclare-t-il. Et puis l'auteur de Il faut laisser le temps au temps l'assure: "Si les Français le connaissaient dans son intimité, il serait élu avec 90 % des voix".

Comme Michel Sardou, qui s'en défend désormais, Didier Barbelivien est étiqueté "chanteur de droite". "Ca ne me dérange pas", assume-t-il, indiquant avoir toujours voté à droite. L'ancien président est "un homme extrêmement attachant, qui a du bon sens", précise-t-il encore, expliquant qu'il le trouve "clair, limpide, en un mot: normal". Concluant: "C’est un mec cash qui ne se cache pas".

"Un mec cash qui ne se cache pas"

D'autres, comme Faudel ou Enrico Macias regrettent leur soutien à l'ex-président. Didier Barbelivien, ami indéfectible, s'est moins engagé sur le terrain politique. Tout comme Johnny Hallyday, autre membre du cercle Sarkozy de longue date. "Nico­las Sarkozy est un animal poli­tique. C’est comme Johnny Hally­day, il ne peut pas s’ar­rê­ter. Et moi je ne peux me passer ni de l’un ni de l’au­tre", confiait d'ailleurs Barbelivien en novembre 2015 à Voici .

Il y évoquait aussi sa rencontre avec l'ancien maire de Neuilly, il y a trente ans.

"Sardou faisait le Palais des Congrès. Dans sa loge, le vigile me dit que le nouveau maire de Neuilly voudrait voir Michel et me montre un couple de jeunes qui avaient l’air d’étu­diants. Je lui réponds que ce sont des mythos. Nico­las s’ap­proche et se présente. Oups! Pour rattra­per le coup, je l’ai invité à dîner. Il est parti à 5 heures du mat et on ne s’est plus quittés".

M. R.